Assassin's Creed Brotherhood : trailer

Publié le par Ekinox

Il est enfin là ! Ezio est de retour dans un trailer palpitant et ravissant du nouvel Assassin's Creed : Brotherhood.

 

Mais critiquons ; on voit qu'Ubisoft s'est vraiment forcé à améliorer l'aspect graphique avec des décors encore plus léchés que les derniers jeux mais on remarque surtout la beauté graphique des visages, plus précisément les cheveux,barbes,... et la texture de la peau. Je suis un fan inconditionné d'Assassin's Creed mais ce que je reprochais à ce jeu était son manque de précision sur les visages avec des mouvements des cheveux et des visages saccadés, peu fluides, les lignes des visages étaient trop carrées mais cela a changé du tout au tout, du moins dans le trailer !
Ce n'est bien sûr et je m'efforce de vous le rappeler qu'un trailer mais on peut deviner beaucoup de choses à travers un trailer qui laisse apercevoir la façon dont est réalisé le jeu.
Pour ce qui est de l'ambiance au sein du jeu et de l'époque du protagoniste Ubisoft est tout aussi magistral et nous plonge directement au coeur d'une nouvelle histoire en nous dévoilant des bribes du scénario : de nouveaux alliés, des ennemis haut-placés et de plus en plus malins, organisés et cruels. Ce trailer a réussi à m'immiscer dans la peau d'Ezio grâce à des prises de vue très subjectives, des petits détails qui font leur effet comme l'aigle qui pousse son cri ou le sifflement des flèches tirées par les alliés à peine visibles. Pur en revenir aux ennemis, ce trailer nous présente d'emblée nos futures cibles en les dévoilant dès le début du trailer, Ubisoft a fait fort car les visages créés arrivent à nous dévoiler le caractère de celui-ci : on nous présente l'homme religieux (le pape ?) comme quelqu'un ayant "deux visages" ; il amadoue le peuple en étant près de lui, en se montrant mais on peut penser que c'est ce même personnage qui ensuite commanditera des meurtres,fera jeter des innocents en prison. Ceci n'est toujours qu'un avis personnel sur la question.
Parlons ensuite de notre héros préféré : Ezio. On le voit comme quelqu'un de plus adulte, de plus mature, comme un homme. Homme qui tranche avec le côté un peu puéril et joueur (ce qui ne me dérange pas du tout car j'ai adoré AC 2) du deuxième volet. Il aussi eu droit à un développement de la pilosité faciale (oula, faut que j'arrête de sortir des bouts de phrases bizarres comme ça moi ). Non mais on se rend compte que le petit jeune du début a évolué, qu'il a gagné en notoriété et en crédibilité. Il n'est désormais plus seul et bien appuyé par ses puissants "frères" (d'où le titre du dernier volet : Brotherhood = fraternité ou confrérie). Notre assassin est aussi présenté comme quelqu'un ayant du sang-foird, de la tranquillité, de la patience et beaucoup moins de peur et plus de confiance en lui-même.
Bon, c'est fini pour cette longue critique qui en valait la peine vu l'affection que je porte au jeu (et je pense que je ne suis pas le seul ) et j'espère que je ne vous ai pas trop saoulé.

Publié dans Games

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